Noé suivi de À une mer point nommée
2004
41 pages
contient un frontispice photographique de Marthe de la Presle
« Noé tombe en son arche. Le chœur des animaux respirants est son rempart. On annoncera comme une hypothèse que les animaux, de sage nature, ont décidé de sauver Noé, le sauveur sur scène, de faire d’un des leurs une conscience humaine qui ne se souvient plus de ses frayeurs, un être fort, une sorte d’homme que nous sommes oubliera qu’il avait parlé aux animaux. »